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Isabelle C.

Découverte dans le beau petit film de Christian Vincent, Beau fixe, en 1992, elle a éclaté cinq ans plus tard, en menant à bien avec Philippe Harel ce projet si casse-gueule de La femme défendue. Elle a été aussi la seule raison valable d'apprécier Les sentiments de Noémie Lvovsky. Vivacité de jeu, abandon corporel total dans chaque rôle. Mais le déclic, le détail qui me la rend indispensable maintenant, il m'est apparu en voyant Holy Lola de Tavernier, il y a de cela trois ans : Isabelle Carré, sous la pesanteur d'un climat étouffant ou sous le coup d'une émotion, rougit comme personne et élève ainsi une réaction physiologique banale au rang de grand art érotique et sensoriel.

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Photo Holy Lola: Allocine.com

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