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Le coin du strip-tease

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Cul de sac (Polanski, 1967) (photo dvdbeaver.com)

13 aveux, 13 façons de se mettre à nu.

A ma suite, j'invite chacun de vous à se laisser aller sans honte ni soucis du qu'en-dira-t-on et à jouer à ce petit jeu, en choisissant dans votre cinémathèque imaginaire. Réponses multiples et propositions de nouvelles catégories sont possibles (mais évitons les moqueries qui inhiberaient les plus pudiques).

J'ouvre la séance de thérapie de groupe :

4e79d77148b8319f7b7c4aa351d276f4.jpg1- Plaisir inavouable : Le voyage de Natty Gann(Jeremy Paul Kagan)

2- Classique ennuyeux : Drôle de drame (Marcel Carné) / La chambre verte(François Truffaut) / La prise du pouvoir par Louis XIV(Roberto Rossellini)

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Outsiders (Coppola) / Angel heart(Alan Parker)

4- Chef d'oeuvre méconnu : Acte de violence(Fred Zinnemann)

5- Navet génial : Plan 9 from outer space(Ed Wood)

6- Film détestable : La dernière maison sur la gauche(Wes Craven) / C'est arrivé près de chez vous(Belvaux-Bonzel-Poelvoorde) / Irréversible(Gaspar Noé)

7- Pleurer à chaque fois : Le Kid(Charlie Chaplin) / Le voleur de bicyclette(Vittorio De Sica)

8- Mourir de rire à chaque fois : Quand l'inspecteur s'emmêle(Blake Edwards)

9- Etre émoustillé à chaque fois : Claudette Colbert (Cléopatre) / Catherine Deneuve (Belle de jour) / Naomi Watts-Laura Harring (Mulholland Drive)

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Positif

11- Cinéaste trop vanté : Cukor / Fassbinder

12- Sainte trinité : Lang / Bunuel / Kubrick

13- Entrée en cinéphilie : Les ailes du désir (Wim Wenders)

904e4c2c599d125e6ffc63823a9c7769.jpgPar Sébastien Carpentier :

1- Plaisir inavouable : Moulin rouge ! (Luhrmann)

2- Classique ennuyeux : Noblesse oblige (Hamer)

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Lost highway (Lynch)

4- Chef d'oeuvre méconnu : Lenny (Fosse)

5- Navet génial : Turkish Star wars (Inanç)

6- Film détestable : La vie est belle (Benigni) / C’est arrivé près de chez vous (Belvaux, Bonzel & Poelvoorde)

7- Pleurer à chaque fois : Ladybird (Loach)

8- Mourir de rire à chaque fois : L’impossible Monsieur Bébé (Hawks)

9- Etre émoustillé à chaque fois : une scène particulière de La prisonnière (Clouzot)

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : l’un et l’autre pour leurs qualités respectives, l'un et l'autre malgré leurs défauts respectifs.

11- Cinéaste trop vanté : Jean-Luc Godard

12- Sainte trinité : Kazan / Kieslowski / Kubrick

13- Entrée en cinéphilie : En compagnie des hommes (LaBute)

d00d0b3fc8e35b89963bc49aed6bc6ee.jpgPar Ludovic :

1- Plaisir inavouable : L’île aux trente cercueils(Marcel Cravenne) et les films avec Marylin Jess.

2- Classique ennuyeux : Blow up (Antonioni) malgré tout le bien que je pense de ce réalisateur et les admirables déclinaisons proposées par de Palma ou Argento.

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : le cinéma de David Lean.

4- Chef d'oeuvre méconnu : Allonsanfan (les Taviani)

5- Navet génial : Sailor et Lula (Lynch)

6- Films détestables : Sitcom (Ozon), Rois et reines (Desplechin), 21 grammes (Inarritu), Collision (Haggis), Tout sur ma mère (Almodovar), Munich (Spielberg)...

7- Pleurer à chaque fois : Les lumières de la ville (Chaplin), Sweet sixteen (Loach), Pain et chocolat (Brusati)

8- Mourir de rire à chaque fois : A part Europa de Lars von trier, chacun des films joués ou réalisés par Jean-Marc Barr.

9- Etre émoustillé à chaque fois : Donna Reed dans La vie est belle (Capra) ; Marylin Monroe dans La rivière sans retour (Preminger), Regina Hall dans Secret Paris (Andrew Blake) ; Juliette Binoche dans Le Hussard sur le toit (Rappeneau), Magali Noël dans Amacord (Fellini)...

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : depuis 1995, ni l’un ni l’autre.

11- Cinéastes trop vantés : Eastwood/ Lynch/ Moretti/Truffaut/Honoré...

12- Sainte trinité : Rohmer/Loach/Bresson (mais en bon lecteur d'Abellio, je vous propose plutôt un sénaire-septénaire, en ajoutant Fellini/Greenaway/Franju puis chapeautant les 6, Godard).

13-Entrée en cinéphilie : Mauvais sang de Léos Carax (1986)

909b52d890988ca2aa60be0392543f53.jpgPar Dr Orlof :

(version intégrale ici)

1- Plaisir inavouable : Films de Russ Meyer, Jean Rollin, Jesus Franco et José Bénazéraf.

2- Classique ennuyeux : Hôtel du nord (Marcel Carné) / La traversée de Paris (Autant-Lara) / Le guépard (Visconti)

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Merci la vie (Blier) / The Wall (Alan Parker)

4- Chef d'oeuvre méconnu : Elle s’appelait scorpion de Shunya Ito.

5- Navet génial : Sénéchal le magnifique de Jean Boyer avec Fernandel

6- Film détestable : Dobermann (Jan Kounen) / Le vieux fusil (Enrico) / La liste de Schindler (Spielberg), Chute libre (Schumacher), Chantage de femmes (Michel Ricaud) et les œuvres complètes de Michael Youn ! (il y en a d’autres…)

7- Pleurer à chaque fois : L’aventure de Madame Muir (Mankiewicz)

8- Mourir de rire à chaque fois : The party (Blake Edwards)

9- Etre émoustillé à chaque fois : La bête de Borowczyk

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Ado Kyrou/Robert Benayoun et Serge Daney/Luc Moullet : oui ; Michel Ciment, Jean-Michel Frodon et Emmanuel Burdeau : non !

11- Cinéaste trop vanté : Clair/ Carné/ Autant-Lara/ Rosi/ Losey/ De Sica/ Scola/Michael Mann/Spielberg/Shyamalan/Christophe Honoré

12- Sainte trinité : Lynch/ Buñuel / Resnais 

13- Entrée en cinéphilie : A nos amours (Pialat) et Trop belle pour toi (Blier)

75524958a983342dc515f822929b3b6e.jpgPar Joachim :

(version intégrale ici, beaucoup plus longue)

1- Plaisir inavouable : Des séquences de Peur sur la ville (Henri Verneuil), des Sous-doués, de L’aile ou la cuisse (Claude Zidi), du Come-back, Planète terreur

2- Classique ennuyeux : Sonate d’automne (Bergman), Plan 9 from outer space (Ed Wood), Women (Cukor), La Salamandre (Alain Tanner)

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Buffet froid (Blier) et Le nom de la rose (Jean-Jacques Annaud)

4- Chef d'oeuvre méconnu : Travail au noir (Jerzy Skolimowski), deux films d’Iosseliani : Il était une fois un merle chanteur et Pastorale, et le premier film américain de Milos Forman : Taking off.

5- Navet génial : Cannonball run (Hal Needham 1981), Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines (Ken Annakin 1965), La course à la mort de l’an 2000 (Paul Bartel), Rock n’ roll high school (Alan Arkush 1979), Femme Fatale (Brian de Palma), Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard), Labyrinthe des passions (Almodovar)

6- Film détestable : Podium (Yann Moix), Merci la vie (Bertrand Blier)

7- Pleurer à chaque fois : In the mood for love (Wong Kar Wai) et la mort du grand-père dans Taste of tea (Kastuhito Ishii)

8- Mourir de rire à chaque fois : Les scènes de comédie, mais aussi les séquences de kung-fu, de manga et l’enregistrement de la chanson pop dans Taste of tea (Katsuhito Ishii), Annie Hall et Broadway Danny Rose (Woody Allen)

9- Etre émoustillé à chaque fois : Deborah Unger dans Crash (Cronenberg), les scènes d’amour saphique dans Mulholland Drive (Lynch), la deuxième partie de Blissfuly yours (Apichatpong), la scène du baiser dans Une partie de campagne (Jean Renoir).

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Impossible de passer un mois sans jamais jeter un œil sur les sommaires de leurs numéros.

11- Cinéaste trop vanté : Cukor, Mc Carey...

12- Sainte trinité : Bresson / Resnais / Pasolini et pour le cinéma récent: Gus van Sant / Kiarostami / Cronenberg

13- Entrée en cinéphilie : Mon oncle (Jaques Tati) et Thérèse (Alain Cavalier)

2cbce13c4723a0607699b3fac39c8913.jpgPar Hyppogriffe

1- Plaisir inavouable : un certain nombre de films d’horreur contemporains dont je ne me souviens plus des titres et que je ne reverrai sans doute jamais

2- Classique ennuyeux : Citizen Kane

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Le Sacrifice de Tarkovski

4- Chef d’œuvre méconnu : Fat City de Huston

5- Navet génial : M.A.S.H.

6- Film détestable : il y en trop, je ne sais pas. Pour s’en tenir à ces dernières années : au choix, La Petite Lili de Miller ou Rois et reine de Desplechin.

7- Pleurer à chaque fois : à Ordet

8- Mourir de rire à chaque fois : L’impossible Monsieur Bébé de Hawks, tout comme Sébastien

9- Etre émoustillé à chaque fois : je cherche encore. Je ne suis jamais purement et simplement émoustillé à la vision d’une scène de film, il y a toujours autre chose

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : ni l’un ni l’autre, c’est fini, tournons la page, inventons autre chose.

11- Cinéaste trop vanté : il y en a des tas, non ? Mais la palme revient à Eastwood, qui l’aura violemment disputée à Spielberg et à Scorsese.

12- Sainte trinité : Ford, Dreyer, Stroheim

13- Entrée en cinéphilie : Une femme sous influence de Cassavetes

61b172f1faeb223c58d4db7ea8f94662.jpgPar Vincent

(version intégrale ici)

1- Plaisirs inavouables : La grande vadrouille ; Cul et chemise

2- Classique ennuyeux : Persona d'Ingmar Bergman ; Dieu est mort de John Ford

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Le train sifflera trois fois (Zinnemann)

4- Chef d'oeuvre méconnu : Tire encore si tu peux de Giulio Questi ; Always de Steven Spielberg ; Le reveil de la sorcière rouge d'Edward Ludwig.

5- Navet génial : Le 6e continent de Kevin Connor

6- Film détestable : La chinoise de Jean-Luc Godard ; Irréversible et l'oeuvre complète de Gaspard Noé ; les films avec Sophie Marceau.

7- Pleurer à chaque fois : L'étreinte finale dans La prisonnière du désert de John Ford ; La mort de Sean dans Il était une fois la révolution de Sergio Léone ; le départ du village dans La horde sauvage de Sam Peckinpah ; Voyage à deux de Stanley Donen.

8- Mourir de rire à chaque fois : Le miroir dans Duck Soup (Léo McCarey) ; Birdie num-num dans The party de Blake Edwards ; Palombella rossa de Nanni Moretti ; tout Rio Bravo de Howard Hawks.

9- Etre émoustillé à chaque fois : Le décolleté de Claudia Cardinale chez Léone, les jambes de Catherine Deneuve, la voix de Jeanne Balibar, le regard de Marlène Dietrich...assez ! (Et Donna Reed aussi).

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Positif.

11- Cinéaste trop vanté : Lucio Fulci, David Lynch, Bernardo Bertolucci, Claude Zidi.

12- Sainte trinité : John Ford / Akira Kurosawa / François Truffaut.

13- Entrée en cinéphilie : La chevauchée fantastique de John Ford

a86769e3ea019dcbed9c73c9f3872870.jpgPar Thomas

1- Plaisir inavouable : les films de Michael Bay, Blown Away de Stephen Hopkins, Mortal Kombat  de Paul Anderson.

2- Classique ennuyeux : Le miroir, Andreï Roublev (Tarkovski)

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Double impact de Sheldon Lettich

4- Chef d'oeuvre méconnu : Gozu de Takashi Miike.

5- Navet génial : Femme fatale de Brian De Palma, Streetfighter de Stevn E. De Souza

6- Film détestable : Inland Empire de David Lynch

7- Pleurer à chaque fois : Sur la route de Madison de Clint Eastwood, Le tombeau des lucioles de Isao Takahata

8- Mourir de rire à chaque fois : La cité de la peur, Les sous-doués, Fou(s) d'Irène, Jack Burton dans les griffes du mandarin, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre

9- Etre émoustillé à chaque fois : Basic Instinct, Patsy Kensit dans L'arme fatale 2, la danse de Salma Hayek dans Une nuit en enfer, Monica Bellucci dans Le pacte des loups, Dina Meyer dans Starship Troopers, Deborah Unger dans Crash

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : ni l'un ni l'autre. Plutôt Score, en fait.

11- Cinéaste trop vanté : Frédéric Schoenderffer, Baz Luhrmann.

12- Sainte trinité : John Carpenter/Takeshi Kitano/John Woo

13- Entrée en cinéphilie : Sonatine de Kitano pour le cinéma d'auteur, et Police story de Jackie Chan pour le cinéma de genre.

6e93fa0d0dc5c28999e4dedf6eb475a8.jpgPar el pibe

(version intégrale, ici)

1- Plaisir inavouable : tous les films avec des histoires de fantômes

2- Classique ennuyeux : Eraserhead (Lynch), toute la Nouvelle Vague

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Rocky IV (Stallone)

4- Chef d'oeuvre méconnu : Klute (Pakula)

5- Navet génial : Van Helsing (Sommers)

6- Film détestable : Tideland (Gilliam)

7- Pleurer à chaque fois : Hana Bi (Kitano), Rasta Rocket

8- Mourir de rire à chaque fois : Getting Any (Kitano), La cité de la peur, Bill Murray dans Sos Fantomes

9- Etre émoustillé à chaque fois : Donnie Darko du début à la fin, 2001 avec la musique de Strauss, la voix off de La ligne rouge, plus généralement à chaque apparition de Shu Ki…

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Positif

11- Cinéaste trop vanté : Tarantino, Godard

12- Sainte trinité : Malick/Kitano/Kubrick ou alors Peckinpah/Kurosawa/Scorsese

13- Entrée en cinéphilie : La haine (Kassovitz), Hana Bi (Kitano)

b17bbeb5962c04b0b6115cd7a4a91b75.jpgPar Montalte (pêché chez Ludovic)

1- Plaisir inavouable : la saga Harry Potter.

2- Classiques ennuyeux : Kagemusha (Kurosawa), et hélas tous les Bogart-Bacall de la grande époque...

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Orson Welles.

4- Chef d’œuvre méconnu : Le temps retrouvé (Ruiz).

5 - Navet génial : La passion du Christ (Gibson)

6- Films détestable : La repentie de Laetitia Masson ; Roselyne et les lions de Jean-Jacques Beinex ; Truands de Frédéric Schoendoerffer

7- Pleurer à chaque fois : Underground d'Emir Kusturica

8- Mourir de rire à chaque fois : Top secret (Zucker, Abrahams)

9- Etre émoustillé à chaque fois : Marylin Monroe dans Rivière sur retour, Ingrid Bergman, Bree van der Kamp

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Positif pendant longtemps.

11- Cinéaste trop vanté : Fassbinder.

12- Sainte trinité : Kubrick/Fellini/Guitry

13- Entrée en cinéphilie : Le messager de Joseph Losey

cefb8555593b852bfcd12f6f27980a81.jpgPar S; du aaablog (pêché chez  Vincent)

1- Plaisir inavouable : Une fascination déviante pour Tom Cruise. Une autre pour Ridley Scott

2- Classique ennuyeux : E.T. (Spielberg), Orange Mécanique (Kubrick).

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Cahier du cinéma et Positif.

4- Chef d'oeuvre méconnu : Memories of Murder de Bong Joon-ho et Taste of Tea.

5- Navet génial : Conan le Barbare

6- Films détestables : Blueberry de Kounen

7- Pleurer à chaque fois : Beignets de Tomates vertes (Avnet), les choses de la vie (Sautet), Ice Storm (Lee).

8- Mourir de rire à chaque fois : Catwoman de Pitoff

9- Etre émoustillé à chaque fois : Romy Schneider dans Les Choses de la vie comme dans le reste, Aly McGraw dans la décharge et même Michelle Pfeiffer en Catwoman...

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : plouf, plouf, une vache qui pisse...

11- Cinéastes trop vantés : Tarentino/Burton/Kubrick/Kar-Wai

12- Sainte trinité : Peckinpah/Welles/Kurosawa

13-Entrée en cinéphilie : Blade Runner de Scott, L'Empire contre attaque de Lucas (1986)

b82b86f29c7e6b11e2902f83a040aec2.jpgPar coinducinephage

(version intégrale, ici)

1- Plaisir inavouable : C’est arrivé à 36 chandelles (Henri Diamant-Berger), Les Duraton (André Berthomieu)

2- Classique ennuyeux : Mort à Venise (Visconti).

3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Les films de Brian de Palma (Pulsions, Blow out)

4- Chef d'oeuvre méconnu :  Mollenard de Robert Siodmak, Toni de Jean Renoir, Wanda de Barbara Loden, L'année des 13 lunes de Rainer Werner Fassbinder.

5- Navet génial : Les gorilles de Jean Girault, Oh, que mambo de John Berry, Le défroqué de Léo Joannon

6- Films détestables :  Apocalypto (Mel Gibson), L'expérience interdite (Joel Schumacher), Le vieux fusil (Robert Enrico)

7- Pleurer à chaque fois : L’incompris (Luigi Comencini), Mar adentro (Alejandro Amenabar)

8- Mourir de rire à chaque fois : The party de Blake Edwards, Les frères Marx, Les Monty Pythons, les "screwball comedy" en général, des années 40-50, No sex last night de Sophie Calle, Arielle Dombasle dans L'arbre, le maire et la médiathéque (Éric Rohmer).

9- Etre émoustillé à chaque fois : Les films où l’on retrouve Claudia Cardinale

10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Je trouve ces deux revues complémentaires. Je serais plutôt "Revue du cinéma".

11- Cinéastes trop vantés : Paul Greengrass, Joel Schumacher, Michael Bay, Paul Schrader, Luc Besson

12- Sainte trinité : Alain Resnais / Luis Buñuel / Jean Eustache

13-Entrée en cinéphilie : Le charme discret de la bourgeoisie (Bunuel), La nuit du chasseur (Laughton)

Par Bernard Alapetite

Par Neil et ses amis

Commentaires

  • Mon site est actuellement en sommeil (mais son réveil est programmé pour dans pas longtemps). En attendant, je hante les blogs cinéphiles, dont le vôtre, que j'apprécie et dont je suis avec attention l'évolution.

    Le petit jeu que vous proposez m'a incité à me replonger dans mes souvenirs cinéphiles, ce qui m'a fait passer un agréable moment. Soyez-en remercié.

    Je vous livre mes 12 aveux (vous constaterez quelques similitudes avec vos réponses) :

    Plaisir inavouable : Moulin rouge ! (Luhrmann)
    Classique ennuyeux : Noblesse oblige (Hamer)
    Adoré à l'adolescence puis abandonné : Lost highway (Lynch)
    Chef d'oeuvre méconnu : Lenny (Fosse)
    Navet génial : Turkish Star wars (Inanç)
    Film détestable : La vie est belle (Benigni) / C’est arrivé près de chez vous (Belvaux, Bonzel & Poelvoorde)
    Pleurer à chaque fois : Ladybird (Loach)
    Mourir de rire à chaque fois : L’impossible Monsieur Bébé (Hawks)
    Etre émoustillé à chaque fois : une scène particulière de La prisonnière (Clouzot)
    Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : l’un et l’autre pour leurs qualités respectives, l'un et l'autre malgré leurs défauts respectifs.
    Cinéaste trop vanté : Jean-Luc Godard
    Sainte trinité : Kazan / Kieslowski / Kubrick

  • J'en profite pour proposer une treizième catégorie : le film qui vous a fait entrer en cinéphilie.

    En ce qui me concerne : En compagnie des hommes (LaBute).

  • Je vous découvre par les liens du Dr Orlof que je n'avais jamais visités en totalité et là deux surprises : 1) ce questionnaire auquel je vais m'atteler et 2) des bonnes nouvelles de Sébastien Carpentier !

  • Merci bien, Sébastien. Je garderai un oeil sur le réveil de votre blog qui, d'après le message de Ludovic, semble très attendu.
    Excellente idée que cette 13e proposition. Je vais m'empresser de mettre tout ça à jour dès ce soir.

    Quant à Ludovic, j'attends avec plaisir votre liste. Ravi que le chemin détourné de mon blog mène à des retrouvailles.

  • Ah! Ah! Ravi de voir ce type de questionnaire auquel je vais m'atteler également! Mais comment est-il possible de ne pas aimer Cukor et surtout Fassbinder??

  • Aïe, aïe, aïe, je sens que c'est cette catégorie qui va faire le plus mal...
    Je précise que dans mon esprit, il ne s'agit pas d'aimer ou pas un auteur en bloc, mais de montrer un écart entre la réception d'une oeuvre par un spectateur en particulier et le prestige critique dont celle-ci dispose. Par exemple, je n'aime entièrement que 2 Fassbinder ("Maria Braun" et "Querelle") sur les 15 que j'ai vu et je tiens "Une étoile est née" de Cukor pour un chef-d'oeuvre (et "Madame porte la culotte" pour une excellente comédie, mais ses "grands films", "Sylvia Scarlett", "Vacances", "Indiscrétions", "Femmes", "My fair lady"... ne m'ont pas transportés).

  • Excellent questionnaire auquel je m'attelle derechef. Entends parler pour la première fois d'"Acte de Violence". Attends avec impatience un billet sur cette oeuvre, moi qui suis friand de films inconnus.

  • Bonjour. Tout à la joie d'avoir d'apprendre que Sébastien ne nous a pas complètement abandonnés, j'ai répondu à vos questions.

    1- Plaisir inavouable : un certain nombre de films d’horreur contemporains dont je ne me souviens plus des titres et que je ne reverrai sans doute jamais
    2- Classique ennuyeux : Citizen Kane
    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Le Sacrifice de Tarkovski
    4- Chef d’œuvre méconnu : Fat City de Huston
    5- Navet génial : M.A.S.H.
    6- Film détestable : il y en trop, je ne sais pas. Pour s’en tenir à ces dernières années : au choix, La Petite Lili de Miller ou Rois et reine de Desplechin.
    7- Pleurer à chaque fois : à Ordet
    8- Mourir de rire à chaque fois : L’impossible Monsieur Bébé de Hawks, tout comme Sébastien
    9- Etre émoustillé à chaque fois : je cherche encore. Je ne suis jamais purement et simplement émoustillé à la vision d’une scène de film, il y a toujours autre chose
    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : ni l’un ni l’autre, c’est fini, tournons la page, inventons autre chose.
    11- Cinéaste trop vanté : il y en a des tas, non ? Mais la palme revient à Eastwood, qui l’aura violemment disputée à Spielberg et à Scorsese.
    12- Sainte trinité : Ford, Dreyer, Stroheim
    13- Entrée en cinéphilie : Une femme sous influence de Cassavetes

  • Tout de même, Sébastien : "Godard, cinéaste trop vanté", et puis quoi encore? Il a tout mis sens dessus dessous, on n'en a pas fini avec lui, et tant pis si ses adorateurs sont souvent des cons (Bergala etc.), revenons encore et toujours aux films : "Vivre sa vie", "Week-End", "Masulin/féminin", "Numéro 2", "Passion", "Le Rapport Darty", "Un film comme les autres", "Tout va bien"...

  • "Spielberg, cinéaste trop vanté", euh, ce n'est pas avec mes lectures (Vous Hyppogriffe, le Dr Orlof, Ludovic...) qu'il cours ce risque !

    Blague à part, je suis étonné de la désaffection envers Cukor. "Philadelphia story", c'est un sommet pour moi.

  • Avec vos lecteurs, non, mais avec vos lectures par contre... si fait!
    Mais je suis d'accord avec vous au sujet de Cukor, Vincent, qui ne mérite pas ce mépris. Si tous ses films ne sont pas aussi bons, "Philadelphia Story" est effectivement excellent, et "Gaslight" et "A Star is Born" sont des chefs-d'oeuvre.

  • Et bien, je ne pensais pas provoquer autant de discussions. Un petit tour vers les blogs des personnes qui se prêtent au jeu montre que ça chauffe dans les commentaires (sur Visconti, Cukor, Spielberg etc..., et même sur le principe de ce genre de réjouissances).
    J'essaye de regrouper un peu tout ça, au fur et à mesure, dans ma note. Il y a vraiment des réponses gratinées (c'était aussi le but).

  • En tout cas, cher Ed, je ne te remercierai jamais assez d'avoir inventé les catégories "navet génial" et "émoustillé à chaque fois" qui m'ont fait revenir tellement d'émotions en mémoire. Je pense continuer un jour sur mon blog à fouiller le répertoire de ces deux catégories.

  • Mes petites réponses (j'ai honte de mes réponses, mais bon, fallait être honnête, hein ?...)

    1/ Plaisir inavouable : les films de Michael Bay, « Blown Away » de Stephen Hopkins, « Mortal Kombat » de Paul Anderson.

    2/ Classique ennuyeux : les films d'Andreï Tarkovsky, (« Le miroir », « Andreï Roublev ») subis en série aux Beaux-Arts.

    3/ Adoré à l'adolescence puis abandonné : « Double impact » de Sheldon Lettich

    4/ Chef d'oeuvre méconnu : tous les chefs d'oeuvres que je connais sont connus. Peut-être « Gozu » de Takashi Miike.

    5/ Navet génial : « Femme fatale » de Brian De Palma, « Streetfighter » de Stevn E. De Souza. J'ai honte...

    6/ Film détestable : « Inland Empire »

    7/ Pleurer à chaque fois : « Sur la route de Madison ». J'ai été également traumatisé par « Le tombeau des lucioles », mais je ne le visionnerai jamais plus.

    8/ Mourir de rire à chaque fois : il y en a beaucoup. « La cité de la peur », « Les sous-doués », « Fou(s) d'Irène », « Jack Burton dans les griffes du mandarin », « Astérix et Obélix : mission Cléopâtre ».

    9/ Etre émoustillé à chaque fois : « Basic Instinct » forcément, Patsy Kensit dans « L'arme fatale 2 », la danse de Salma Hayek dans « Une nuit en enfer », Monica Bellucci dans « Le pacte des loups », Dina Meyer dans « Starship Troopers », Deborah Unger dans « Crash », il y en a tellement...

    10/ Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : ni l'un ni l'autre. Plutôt Score, en fait.

    11/ Cinéaste trop vanté : Frédéric Schoenderffer, Baz Luhrmann.

    12/ Sainte trinité : John Carpenter/Takeshi Kitano/John Woo. Il y en a d'autres, mais pour ces trois-là... c'est viscéral.

    13/ Entrée en cinéphilie : 1995 : « Sonatine » de Kitano pour le cinéma d'auteur, et « Police story » de Jackie Chan pour le cinéma de genre.

  • "Mortal Kombat" plutôt que "Inland Empire" ? Allez, sortez Thomas !
    Je plaisante. Inutile de s'excuser. L'aveu de plaisirs coupables fait partie du charme de ce genre de questionnaires.
    Je note que "Femme fatale" est à nouveau cité comme navet génial et je souscris assez à cette idée. Par contre, je ne connais pas "Gozu", mais la vision de "Audition" du même Miike m'avait particulièrement refroidi.
    Merci bien pour la contribution.

  • Il y a également celui-ci : http://yannick.chiwalou.org/

    Je me régale de toutes ces réponses.

  • 1/ Plaisir inavouable : si vous saviez...

    2/ Classique ennuyeux : Andreï Tarkovsky

    3/ Adoré à l'adolescence puis abandonné : Woody Allen

    4/ Chef d'oeuvre méconnu : La Belle de nuit (Louis Valray, 1933), Vanina Vanini (Roberto Rossellini, 1960), Strip-tease (Jacques Poitrenaud, 1962)

    5/ Navet génial : tous les Truffaut-Doinel

    6/ Film détestable : La Grande Illusion, Le Vieux Fusil, Accatone

    7/ Pleurer à chaque fois : Elephant Man

    8/ Mourir de rire à chaque fois : Au hasard Balthazar, Mouchette, Edith et Marcel

    9/ Etre émoustillé à chaque fois : Blue Jeans (Jacques Rozier, 1958).

    10/ Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Cahiers jusqu'en 2000, Positif : même pas en rêve.

    11/ Cinéaste trop vanté : Charlie Chaplin, Jean Renoir, Jean-Claude Guiguet

    12/ Sainte trinité : Ophuls/Demy/Kitano

    13/ Entrée en cinéphilie : Peau d'Âne, Blanche Neige, Si Versailles m'était conté...

  • Je l'ai fait !
    http://normanbates.hautetfort.com/archive/2007/12/20/strip-tease.html

  • Bon je me lance vu que le principe m'a l'air simple :

    1- Plaisir inavouable : Mortal Kombat (Paul Anderson) pour Christophe Lambert

    2- Classique ennuyeux : Le Mépris (Jean-Luc Godard)

    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Sailor et Lula (David Lynch)

    4- Chef d'oeuvre méconnu : The Taste Of Tea (Katsuhito Ishii)

    5- Navet génial : Arrête de ramer, t'attaques la falaise ! (Michel Caputo)

    6- Film détestable : Les films de Kounen et de Noé

    7- Pleurer à chaque fois : Le Tombeau des lucioles (Isao Takahata), Mar Adentro (Alejandro Amenabar)

    8- Mourir de rire à chaque fois : The Party (Blake Edwards), Le Mécano de la Général (Buster Keaton), The Taste Of Tea (katsuhito Ishii), Les séquences sur la plage dans Sonatine (Takeshi Kitano), Les Vacances de M. Hulot (Jacques Tati)

    9- Etre émoustillé à chaque fois : Match Point (Woody Allen), Gilda (Charles Vidor)

    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : ni l'un, ni l'autre

    11- Cinéaste trop vanté : Godard

    12- Sainte trinité : J'en aurai deux Miyazaki / Kurosawa / Kubrick et Truffaut / Tati / Clouzot

    13- Entrée en cinéphilie : Porco Rosso (Hayao Miyazaki), Le Mécano de la Général (Buster Keaton)

  • Merci pour la contribution. Kounen et Noé en prennent encore pour leur grade. Et The Party n'en finit plus d'être cité.

  • Réponses écrites d'une traite, sans trop y réfléchir, qui auraient sans doute été différentes une heure plus tard (une version longue figurera peut-être un jour ici : http://mister-arkadin.over-blog.fr/article-21206273.html) :
    « 13 aveux, 13 façons de se mettre à nu », tel est le principe d’un questionnaire cinéphilique concocté par Edisdead pour Nightswimming, son excellent blog :
    1- Plaisir inavouable : Les Grands ducs, Le Parfum d’Yvonne et Chacun sa chance (Patrice Leconte)
    2- Classique ennuyeux : Le Voleur de bicyclette (Vittorio De Sica)
    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Que la bête meurt (Claude Chabrol)
    4- Chef d’œuvre méconnu : Blood and Bones (Yoichi Sai)
    5- Navet génial : Le Voyage en Italie (Roberto Rossellini)
    6- Film détestable : Le Cercle des poètes disparus (Peter Weir)
    7- Pleurer à chaque fois : Limelight (Charlie Chaplin) / La vie est belle (Frank Capra) / Good Men, Good Women (Hou Hsia Hsien)
    8- Mourir de rire à chaque fois : Señor Droopy (Tex Avery)
    9- Etre émoustillé à chaque fois : Emmanuelle Seigner (Détective)
    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Positif
    11- Cinéaste trop vanté : Buñuel / Van Sant
    12- Sainte trinité : Chaplin / Hitchcock / Welles
    13- Entrée en cinéphilie : Le Roi et l’oiseau (Paul Grimault)

  • Merci pour la contribution et les compliments, Mr Arkadin.
    Beaucoup de choix singuliers et des réponses qui feront grincer les dents de certains (moi, le premier... Bunuel / Van Sant hum....). C'est la règle et l'intérêt de cette "mise à nu".

  • 1- Plaisir inavouable : L'ours, de JJAnnaud
    2- Classique ennuyeux : Le guépard, Senso, Mort à Venise, et aussi L'avventura et Voyage en Italie
    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Tim Burton
    4- Chef d’œuvre méconnu : The white diamond de Werner Herzog / Les films rêvés de Eric Pauwels
    5- Navet génial : China Girl de Ferrara
    6- Film détestable : The social network
    7- Pleurer à chaque fois : Andrei Roublev
    8- Mourir de rire à chaque fois : La garçonnière de Billy Wilder
    9- Etre émoustillé à chaque fois : Katerina Golubeva
    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : ni l'un ni l'autre
    11- Cinéaste trop vanté : Kubrick / Van Sant / Visconti
    12- Sainte trinité :
    vivants : Herzog / Lynch / Benning
    morts : Pasolini / Cassavetes / Paradjanov
    13- Entrée en cinéphilie : L'année dernière à Marienbad & Lost Highway

  • Merci de réactiver ce petit questionnaire, asketoner.
    L'Ours fut pour moi un plaisir d'adolescent, auquel je n'ai pas re-goûté depuis.
    Katerina Golubeva, effectivement (mais perdue de vue depuis un bon moment, pour ma part).
    L'année dernière & Lost Highway, cela ferait un beau double programme...

  • 1- Plaisir inavouable : "30 ans sinon rien" de Gary Winick

    2- Classique ennuyeux : "Les Enfants du Paradis"

    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : "Angel Heart" (quoique j'ai toujours du plaisir à le revoir) ou "Monsieur Hire"

    4- Chef d’œuvre méconnu : je citais toujours "The Swimmer" de Frank Perry, mais depuis qu'il est ressorti en salles, il n'est plus méconnu du tout. Alors cette fois je change avec "Bungalow pour Femmes" de Raoul Walsh.

    5- Navet génial : je me poile devant "le jour et la nuit" de BHL mais de là à trouver ça génial, il y a un pas que je ne franchis pas. Je dirais donc "Inspecteur la Bavure" ou "L'Aile ou la Cuisse"

    6- Film détestable : Il y en a plein, mais en tête "La vie est belle" de Begnini et "La Liste de Schindler" de Spielberg.

    7- Pleurer à chaque fois : la dernière fois que j'ai pleuré c'est devant "Je suis une légende", nouvelle version, quand meurt Sam, le chien de Will Smith.

    8- Mourir de rire à chaque fois : "Superbad" de Greg Mottola.

    9- Etre émoustillé à chaque fois : par Marylin Monroe dans "Some like it hot".

    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : j'ai longtemps été Cahiers, mais depuis les départs de De Baecque et Jousse ni l'un ni l'autre.

    11- Cinéaste trop vanté : Tarantino / Malick (surtout en ce moment)

    12- Sainte trinité : Tarkovski / Hitchcock / Pasolini / Buñuel. Ah merdre, ça fait 4.

    13- Entrée en cinéphilie : la découverte des grands Hitchcock et des grands De Palma qui y faisaient référence ("Sisters" / "Pulsions" / "Obsession")...

  • Merci pour cette nouvelle réactivation de mon petit questionnaire.
    D'ailleurs, vous tombez vraiment au bon moment pour placer ici le nom de Malick...

  • I love this site and i love this game :



    1- Plaisir inavouable : Les films avec José Garcia comique
    2- Classique ennuyeux : Citizen Kane
    3- Adoré à l'adolescence puis abandonné : Les Disney
    4- Chef d’œuvre méconnu : Sad movie
    5- Navet génial : Le Mac
    6- Film détestable : Richard Berry n’est jamais très loin mais il y en a tant
    7- Pleurer à chaque fois : Carmet dans la soupe aux choux
    8- Mourir de rire à chaque fois : La grande vadrouille ou le corniaud
    9- Etre émoustillé à chaque fois : Paris Texas de Wim Wenders
    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Une pincée de chaque par ci, par là mais moins qu’avant.
    11- Cinéaste trop vanté : Tarantino, Tim Burton
    12- Sainte trinité : Jouvet, Chaplin, Murnau
    13- Entrée en cinéphilie : Eddy Mitchell et sa dernière séance pleines de Western

  • Sad movie, le film coréen ? Je ne connais absolument pas...
    Un peu sévère pour Tarantino mais je comprends. Pour Burton, depuis 2000, effectivement...
    Le Mac, pour ma part, je n'oserai pas, je pense.
    Enfin, il est agréable de voir cité "La dernière séance", chose qui, si je ne me trompe pas, n'avait pas été faite jusque là, bien que cette "entrée en cinéphilie"-là ait été partagée par beaucoup d'entre nous.

  • Ed oui ce film là, ben si tu ne connais pas c'est à connaître.
    Pour Tarantino, j'ai pris la définition au sens premier, trop vanté par rapport à d'autres. Et clairement on parle moins de gens qui le mérite plus. Son cinéma est d'une certaine qualité mais...

    Et pour la dernière séance c'était plus un clein d'oeil qu'autre chose car ma véritable entrée en cinéphilie devait être grâce à Disney

  • Pardon pour ça :

    7- Pleurer à chaque fois : Carmet dans la soupe aux choux

  • Inutile de s'excuser, David. Le jeu demande que chacun se mette à nu et que l'on garde nos sarcasmes pour nous... :)

  • 1- Plaisirs inavouables : Avatar (Cameron), la plage (Boyle), ultimate game (Neveldine&Taylor), Fatal (Youn),


    2- Classiques ennuyeux : La poursuite infernale (Ford), Rome, ville ouverte (Rossellini), La dame de Shangai (Welles), Vertigo (Hitchcock), L'avventura (Antonioni), Deux anglaises et le continent (Truffaut)


    3- Adorés à l'adolescence puis abandonnés : Merde, j'y suis


    4- Chef d'oeuvre méconnu : Coeur fidèle (Epstein), Time and tide (Hark), Deux en un (Farrelly), Koyaanisqatsi (Redgio)


    5- Navet génial : Kickboxer (diSalle&Worth) , The man from earth (Schenkman), Loose Change (Avery), Expendables (Stallone),


    6- Films détestables : Manhattan (Allen), 2 days in Paris (Delpy), Les petits mouchoirs (Canet), The limits of control (Jarmush)


    7- Pleurer à chaque fois : Vivre sa vie (Godard), Rois & Reine (Desplechin), Buffalo'66 (Gallo)


    8- Mourir de rire à chaque fois : Tonnerre sous les tropiques (Ben Stiller), Deux en un (Farrelly), The big Lebowski (Coen), Pulp Fiction (Tarantino), C'est arrivé près de chez vous (Belveaux), La ruée vers l'or (Chaplin)


    9- Etre émoustillé à chaque fois : la scène d'AMOUR de Mulholland Dr, (Lynch) ; le début, le milieu du Mépris (Godard), I wanna be loved by Monoroe dans Certains l'aiment chaud (Wilder), le sexe sur le toit dans Two lovers (Gray), le t shirt mouillé de Virginie ledoyen dans la Plage (Boyle), les ralentis de l'Apollonide (Bonello), le début de Crash (Cronenberg)


    10- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l'un ni l'autre : Jp. Tessé, S. Delorme, J. Lepastier, N. Azalbert, V. Malausa, JS Chauvin


    11- Cinéastes trop vantés : Wong Kar Wai, Eastwood, Audiard, Polanski, Malick, Allen


    12- Sainte trinité : XXème siècle : Godard / Bergman / Murnau
    XXIème siècle : Weerasethakul / Lynch / Van Sant


    13-Entrée en cinéphilie : Les 400 coups (Truffaut)



    OK c'est un an plus tard, et ok je dois peut-être un peu synthétisé..

  • Merci à vous, Jean-Pierre Pernaut.

    Remarques personnelles :
    2. Ah oui, quand même...
    3. Ne vous inquiétez pas, on arrive à en sortir.
    10. Au moins c'est clair...

    Revenez quand vous voulez.

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