Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quand la ville dort (John Huston, 1950)

***
 
Une remarquable construction qui en fait le modèle du film de casse, un rythme plutôt lent mais des plans toujours expressifs, des microsecondes de violence, un ressenti des blessures, et surtout cette caractérisation des personnages enrichie au fil du film à partir d'une obsession propre à chacun pour aboutir à une morale individuelle contre celle des institutions.

Écrire un commentaire

NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.

Optionnel