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Belle fable canine, ce "Chien noir" chinois où l'idée d'une ville perdue et promise au nettoyage est remarquablement prolongée par la mise en scène horizontale, où, malgré la date précise (2008, les JO de Pékin), on pourrait être dans une ère post-apocalyptique, où le temps s'étire plus pour surprendre que pour engourdir, où la question de la violence est surtout abordée à travers les possibilités de désamorçage.