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Louise B.

Loulou et Le journal d'une fille perdue : deux films tournés à quelques mois d'intervalle par G.W. Pabst en 1928/29. Films-jumeaux admirables irradiés par une actrice à nulle autre pareille.

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Après ces deux éclats : une petite poignée de rôles au début du parlant, puis le retrait définitif dès la deuxième moitié des années 30. Ne reste plus alors aux cinéastes qu'à faire revivre l'image au travers de leurs propres muses. Quant à nous, il nous faut revenir indéfiniment vers ces deux oeuvres météores pour que le nom de Louise Brooks continue à évoquer autre chose qu'une coupe de cheveux.

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Anna Karina (Vivre sa vie, Jean-Luc Godard, 1962), Liza Minnelli (Cabaret, Bob Fosse, 1972), Juliette Binoche (Mauvais sang, Leos Carax, 1986), Elina Lowensohn (Amateur, Hal Hartley, 1994) et, disons, pour l'anecdote : Cate Blanchett (Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal, Steven Spielberg, 2008)

 

PS : Ce petit hommage ne pretend certes pas à l'originalité. Une preuve parmi bien d'autres : la découverte lors de l'écriture de cette note de cette page sur le blog Cinématique.

Photos Loulou et Journal : dvdbeaver.com

Commentaires

  • Très joli. Je rajouterais (pour l'anecdote !) la Monika de Bergman.

  • Oui, on pourrait citer Monika. Si des lecteurs ont d'autres idées de rapprochements, qu'ils n'hésitent pas à nous rafraichir la mémoire.

    Sinon Vincent, cette reprise de mon "pour l'anecdote" trahirait-elle le réflexe du défenseur acharné de Spielberg ? Si c'est le cas, je précise que l'expression n'était nullement là pour dénigrer un film que je n'ai pas encore vu (et un cinéaste que j'aime bien en général). Il me semble simplement que, dans ce cas-là, le rapport cinéaste-actrice n'est pas le même que dans les précédents et, à moins que je ne me trompe, l'évocation de Louise Brooks ne peut se réduire ici qu'à la coiffure justement.

  • Damned, me voici trahi par ma nature profonde ! Mais ce n'était qu'un clin d'oeil. Vous ne vous trompez pas sur le rapport Spielberg-Blanchett qui n'est, lui aussi en ce qui concerne Louise B., qu'un clin d'oeil. Je mets la dernière main à un texte sur ce film qui n'est pas des plus aisé à défendre.

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