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13 fois 5 films

Dans les périodes où les notes s'espacent, rien de mieux que de répondre à un questionnaire. Cela tombe bien, l'ami Joachim en a encore sorti un de sa poche.

Voici mes réponses, jetées en une soirée, sans trop creuser.

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5 films dont la deuxième vision est meilleure que la première, puis la troisième meilleure que la deuxième puis la quatrième meilleure que la troisième puis la cinquième... : Les aventures de Robin des bois (Curtis / Keighley), La règle du jeu (Renoir), La prisonnière du désert (Ford), Les sept samouraïs (Kurosawa), L'ange exterminateur (Bunuel)

5 films que j’ai dû voir trois, quatre, cinq, six fois et plus, mais je  n’aimerais pas trop que ça se sache : Mission (Joffé), Subway (Besson), Birdy (Parker), Angel heart (Parker), Les sous-doués (Zidi)

5 réussites incontestables (qui plus est, signées de grands cinéastes) mais qui ne me touchent pas trop : Sylvia Scarlett (Cukor), Le doulos (Melville), Identification d'une femme (Antonioni), Le ventre de l'architecte (Greenaway), L'Anglaise et le Duc (Rohmer)

5 films qui m’ont laissé de mauvais souvenirs, mais vu le calibre de leurs auteurs, j’ose à peine le dire : La vie est un roman (Resnais), Ordet (Dreyer), Prenez garde à la sainte putain (Fassbinder), Les harmonies Werckmeister (Tarr), La veuve joyeuse (Lubitsch)

maadadayo.jpg

5 films réputés mineurs ou oublié, signés par des cinéastes reconnus, mais qui m’ont davantage impressionné que certains de leurs titres emblématiques : La femme aux deux visages (Cukor), 5x2 (Ozon), L'assassinat de Trotsky (Losey), Maadadayo (Kurosawa), Alamo Bay (Malle)

5 grands chocs cinématographiques malgré les conditions déplorables de leur découverte : Shining (Kubrick, petite TV), Cinq femmes autour d'Utamaro (Mizoguchi, mauvaise copie), Cité de la violence (Sollima, en VF), Pulp fiction (Tarantino, avec un voisin qui commentait toutes les répliques, genre "Yeah, Baby !"), Limite (Peixoto, enregistrement de mauvaise qualité)

5 films dont j’ai (ou aurais) eu une vision totalement différente selon la période de la vie à laquelle je les ai vus : La grande vadrouille (Oury), Les aventures de Rabbi Jacob (Oury), et en rapport avec le lien père/fils : The kid (Chaplin), Le voleur de bicyclette (De Sica), L'avion (Kahn)

5 films dont j’ai dit à tout le monde que je les avais vus, alors que ce n’était que par fragments, parfois espacés de plusieurs années, au hasard des diffusions télé, de la disponibilité du magnétoscope ou du DVD : Je ne vois pas. Je remplace donc par autre chose. 5 films que je n'ai pas eu besoin de voir tellement on m'en a parlé : Cannibal holocaust (Deodato), Requiem for a dream (Aronofsky), Le secret de Brokeback Mountain (Lee), A l'intérieur (Bustillo/Maury), Bienvenue chez les Ch'tis (Boon)

5 films que tout le monde aime, mais moi j’y arrive pas : Lune de miel mouvementée (McCarey), Les douze salopards (Aldrich), Ma saison préférée (Téchiné), Clean (Assayas), Les plages d'Agnès (Varda)

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5 films où j’ai d’abord souffert / été déçu au début de la projection puis au bout d’un moment, whaoooaaaaah : Nostalghia (Tarkovski), Pauline à la plage (Rohmer), Naked (Leigh), Eurêka (Aoyama), 21 grammes (Inarritu)

5 films que je continue à défendre bien que signés de cinéastes qu’on adore détester : Panique (Duvivier), Le bon dieu sans confession (Autant-Lara), Sicko (Moore), Dogville (Von Trier), Holy Lola (Tavernier)

5 films d’abord aimés puis ensuite rejetés : Les aventures de Rabbi Jacob (Oury), Les bronzés (Leconte), 37,2 le matin (Beineix), Subway (Besson), Birdy (Parker)

5 films d’abord incompris ou rejetés puis ensuite aimés voire adorés : Onze fioretti de François d'Assise (Rossellini), Madame de... (Ophuls), Chinatown (Polanski), Le sacrifice (Tarkovski), La chasse aux papillons (Iosseliani)

Commentaires

  • Je vois que ton adolescence a aussi été marquée par le cinéma d'Alan Parker et par le duo Besson/Beineix (d'ailleurs, pour ma part, plus par "Subway" que par "le grand bleu" qui m'a toujours emmerdé alors que mes copines se pâmaient devant le beau JM.Barr)

    Sinon, je n'arrive pas à imaginer qu'on puisse avoir un mauvais souvenir d'un Lubitsch :)
    Tous les cinéastes, oui; mais Lubitsch, ce n'est décidément pas possible!

    (Pas mal le coup du "je n'ai pas vu le film mais on m'en a tellement parlé que j'ai le sentiment de l'avoir vu...)

  • J'ai longtemps pensé la même chose que toi sur le Déodato, mais ça vaut le coup de le voir vraiment. Rien de ce que l'on imagine ne correspond tout à fait à ce qu'est le film rêvé. Et parfois, il vaut mieux conserver le rêve.
    Comment peut on rejeter "Rabbi jacob" ?! Je dois dire que j'ai plutôt réévalué certains films avec DeFunes à la hausse ces derniers temps, lui continue de me faire rire.
    Sinon, qu'est-ce que vous avez tous avec Cuckor ? Moi j'adore.

  • Pour Cukor, nous sommes deux, Vincent :)

  • Doc : Pour Besson, j'y allais à fond, même dans "Le grand bleu". En fait, je n'ai arrêté qu'après "Nikita". Le Lubitsch, c'est vraiment lointain, mais oui, cette opérette avec Maurice Chevalier m'avait assommé. Je te rassure, c'est une exception et je serai heureux de réviser mon jugement à l'occasion.

    Vincent : Le Deodato n'est pas vraiment dans mes priorités, mais je garde ta remarque en mémoire, on ne sait jamais... Tu as bien sûr raison : jamais un film ne ressemble exactement à ce que l'on en a imaginé. Je verrai sans doute bientôt "A l'intérieur" et pour les Ch'tis, je finirai éventuellement par jeter un oeil dessus quand il sera diffusé à la tv. Pour ce qui est de "Rabbi Jacob" (ou "Le corniaud", c'est pareil), je l'ai revu assez récemment et j'ai trouvé ça mauvais, vraiment mauvais. Seulement deux ou trois gags à la hauteur, une mise en scène pataude, de terribles facilités comiques (les scènes "d'action" accélérées, les grimaces...), des moments fleur bleue... "Jo" et "La grande vadrouille" tiennent mieux le coup. Enfin, je n'ai jamais détesté un film de Cukor, mais pendant longtemps, à chaque fois que je découvrais l'un de ses titres, c'était avec intérêt mais sans passion. C'est peut-être le cinéaste que je ferai entrer le plus facilement dans cette catégorie de ceux dont les oeuvres mineures me touchent plus facilement : "La femme aux deux visages", "Hantise", "Madame porte la culotte", plutôt que "Sylvia Scarlett", "Vacances", "Indiscrétions", "My fair lady". Exception à cette règle, j'avais adoré "Une étoile est née".

  • il faut retenter, l'opérette avec Maurice Chevalier c'est la quintessence de l'art lubitschien.
    La veuve joyeuse mais aussi et surtout Une heure près de toi. des films d'une fantaisie, d'une légèreté, d'une grâce...du pur bonheur sur pellicule.
    Cukor par contre oui, je partage votre absence d'amour. et je me demande si on se souviendrait du très mineur Sylvia Scarlett s'il n'y avait eu les propos de Daney à son sujet.

  • je laisse de côté toutes les questions relatives à la doxa cinéphile et à la culpabilité qui en découlerait. pour le meilleur et pour le pire, je n'ai jamais honte de mes goûts.

    5 films dont la deuxième vision est meilleure que la première, puis la troisième meilleure que la deuxième puis la quatrième meilleure que la troisième puis la cinquième...:
    La règle du jeu, La prisonnière du désert, Quai des orfèvres, Les affranchis, Le samouraï

    5 réussites incontestables (qui plus est, signées de grands cinéastes) mais qui ne me touchent pas trop: j'ai revu récemment Seuls les anges ont des ailes et j'ai piqué du nez, ce qui m'étais déja arrivé la première que je l'ai vu. je ne me l'explique pas.

    5 films réputés mineurs ou oublié, signés par des cinéastes reconnus, mais qui m’ont davantage impressionné que certains de leurs titres emblématiques:
    Georgia (Penn), Les girls (Cukor), Coeurs (selon moi le meilleur film de Resnais), Ginger et Fred (Fellini), L'enfance d'Ivan

    5 films dont j’ai (ou aurais) eu une vision totalement différente selon la période de la vie à laquelle je les ai vus: les films de Pialat

    5 films que je continue à défendre bien que signés de cinéastes qu’on adore détester:
    Douce (Autant-Lara), Le blé en herbe (Autant-Lara), Une si jolie petite plage (Allégret), Diner (Levinson), In her shoes (Hanson)

    5 films d’abord aimés puis ensuite rejetés : L'air de Paris (Carné), Pink Floyd: The Wall (Parker), Robin des bois (Curtiz/Keighley), La fille de Ryan (Lean), Jardins de pierre (Coppola).
    je me rends compte que "rejeter" est un bien grand mot, c'est dur de me dire que je rejette ces films que j'ai aimés et qui sont d'ailleurs tout à fait honorables. disons que je les aime sensiblement moins qu'avant.

    5 films d’abord incompris ou rejetés puis ensuite aimés voire adorés : Les parapluies de Cherbourg (Demy), Le ciel peut attendre (Lubitsch), La règle du jeu (Renoir), Le roi de coeur (de Broca), Les sept samouraï (Kurosawa)

  • Réponses partielles :

    films dont la deuxième vision est meilleure que la première, puis la troisième meilleure que la deuxième puis la quatrième meilleure que la troisième puis la cinquième... :
    La Dolce vita.

    5 films que j’ai dû voir trois, quatre, cinq, six fois et plus, mais je n’aimerais pas trop que ça se sache :
    Les Dernières vacances de Roger Leenhardt, les films de Laurence Ferreira-Herbosa (peu appréciée il me semble ?) et ceux de Claude Miller.

    5 réussites incontestables (qui plus est, signées de grands cinéastes) mais qui ne me touchent pas trop :
    le Port de l’angoisse ; Casablanca (m’ont déçue par rapport à ce que je en ai entendu dire…)

    5 films qui m’ont laissé de mauvais souvenirs, mais vu le calibre de leurs auteurs, j’ose à peine le dire :
    Pierrot le fou ( j’ai osé, j’ai chroniqué ) ; A bout de souffle ; La Prisonnière du désert ( la plupart des grands Western…); Astrée et Céladon de Rohmer ; Ordet de Dreyer…

    films réputés mineurs ou oublié, signés par des cinéastes reconnus, mais qui m’ont davantage impressionné que certains de leurs titres emblématiques :
    Le Bois de bouleaux ( Andrzej Wajda)
    La Maison des Bories ( Jacques Doniol-Valcroze )quoique Doniol-Valcroze ne soit pas spécialement « reconnu » comme cinéaste…
    La Maison près de la rivière « House by the River »( Fritz Lang)

    5 grands chocs cinématographiques malgré les conditions déplorables de leur découverte :
    Antonioni « L’Aventura » et « La Nuit » ; Resnais « Providence » et Hiroshima mon amour, Smoking no smoking : je ne les ai vus qu’à la TV et ils m’ont passionnés. Dans mon entourage on n’aime pas ces cinéastes. Et donc je n’ai pas l’occasion de les voir sur grand écran…il y a aussi Stephen Frears (les Liaisons dangereuses par exemple…) Bref, il y en a trop…


    5 films dont j’ai eu une vision totalement différente selon la période de la vie à laquelle je les ai vus : plusieurs Bergman (Persona, cris et chuchotement, A travers le miroir, Le Septième sceau) que j’ai adorés autrefois et qui me paraissent maintenant surjoués, grandiloquents, faux…
    Le Tambour de Schlöndorff ( le côté Carnaval me choque à présent)

    5 films que tout le monde aime, mais moi j’y arrive pas :
    Clean d’Assayas ; Lost in Translation de Sofia Coppola ; Mullholand Drive de David Lynch ; Un conte de Noël de Depleschin( le seul de lui qui m'ai déplu!)

    5 films où j’ai d’abord souffert / été déçu au début de la projection puis au bout d’un moment, whaoooaaaaah : Le Cameraman de Buster Keaton.

    5 films que je continue à défendre bien que signés de cinéastes qu’on adore détester : drôle de question !


    5 films d’abord aimés puis ensuite rejetés : Théorème de Pasolini ; More (de Schroeder) ; Les Gauloises bleues de Michel Cournot, Il était une fois dans l’Ouest (beaucoup de films vus à l’adolescence et qui m’ennuient à présent) mais aussi Mont parnasse 19 ( je ne pleure plus, je bâille…)


    5 films d’abord incompris ou rejetés puis ensuite aimés voire adorés : Les films de Chaplin ( qui m’ennuyaient, étant enfant).

  • Merci à vous deux pour ces aveux...

    Christophe : Personnellement, ce n'est pas que j'ai honte de mes goûts, c'est que vu par là où je suis passé pendant l'adolescence, il y a des choses que je ne supporte plus. Je continue, cependant, la preuve, à les assumer.
    Sinon, je partage votre enthousiasme par rapport aux cinq premiers films que vous citez et je note une poignée de film que je n'ai jamais vu (Le blé en herbe, Une si jolie petite plage, Georgia, Le roi de coeur...)

    Dominique : J'allai dire que d'habitude, ce sont les enfants qui aiment Chaplin et les adultes qui s'en détachent, mais en fait, moi (et d'autres je présume) j'admire toujours autant.
    Je me souviens de votre chronique sur Pierrot le fou. Je voulais laisser un mot de désaccord mais ayant de moins en moins de temps, j'ai laissé filé.
    Enfin, pour "les cinéastes qu'on adore détester" (j'ai repris les intitulés exacts proposés par Joachim, l'initiateur du questionnaire), il faut l'entendre je pense dans le sens des films que l'on aime signés de réalisateurs provoquant régulièrement la controverse et ayant de farouches détracteurs parmi les cinéphiles.

  • Shining, quel que soit le support, c'est forcément un choc !
    Tu as bien fait de revoir certains films sinon (le Tarkovski, Ophuls - que je connais depuis peu mais qui m'a echanté -, Polanski).
    Sinon, je note que je ne suis pas le seul à rester froid devant certains films d'Antonioni (le Cri, Profession Reporter, Désert Rouge, pour moi).

  • Franchement, Birdy! J'ai une anecdote marrante à propos de celui-là, il y a quelques années j'avais demandé pour Noël à ma chère maman le dvd de Bird, d'Eastwood, bien entendu elle s'était gourée et m'avait offert Birdy... On l'a quand même regardé en famille, mais j'avais trouvé ça effarant. On a beaucoup rigolé.

  • Ce Téchiné-là et la plupart des Assayas, je n'y arrive pas non plus... Sinon, sur un thème voisin, pour Aldrich préférez "Attaque"

  • Allons-y:

    5 films dont la deuxième vision est meilleure que la première, puis la troisième meilleure que la deuxième puis la quatrième meilleure que la troisième puis la cinquième...
    Vertigo, Mean Streets, Haute pègre, Tous en scène, Jules et Jim

    5 films que j’ai dû voir trois, quatre, cinq, six fois et plus, mais je n’aimerais pas trop que ça se sache
    Cinéma paradiso, Coup de foudre à Notting hill, Zoolander, Mission aussi, Hot shot

    5 réussites incontestables (qui plus est, signées de grands cinéastes) mais qui ne me touchent pas trop :
    Chinatown, Pulp fiction, la Peau douce, Rois et reine, La Dolce Vita

    5 films qui m’ont laissé de mauvais souvenirs, mais vu le calibre de leurs auteurs, j’ose à peine le dire :
    La Nuit, 1900, Lolita de Kubrick, Frantic, Le Parrain 1

    5 films réputés mineurs ou oublié, signés par des cinéastes reconnus, mais qui m’ont davantage impressionné que certains de leurs titres emblématiques:
    Honkytonk man (Eastwood), Illusions perdues (Lubitsch), Baisers volés et La Sirène du Mississipi (Truffaut), Mean streets (Scorsese)

    5 grands chocs cinématographiques malgré les conditions déplorables de leur découverte:
    La Mouche de Cronemberg (doublé en Russe, et à la russe, c'est-à-dire qu'on entend l'Anglais, puis par-dessus le Russe) Stalker, Solaris, Le Miroir, Andreï Roubliev (j'avais acheté une intégrale tarkovski, sans sous-titres: j'avais fini par télécharger les sous-titres pour les faire dérouler à côté au fur et à mesure.) .

    5 films dont j’ai (ou aurais) eu une vision totalement différente selon la période de la vie à laquelle je les ai vus : Fight club, Jules et jim, Incassable et c'est tout, je suis trop jeunot pour avoir beaucoup de "périodes de ma vie"

    5 films dont j’ai dit à tout le monde que je les avais vus, alors que ce n’était que par fragments, parfois espacés de plusieurs années, au hasard des diffusions télé, de la disponibilité du magnétoscope ou du DVD :
    Requiem for a dream, Double indemnity, La Dolce Vita (ce qui explique peut-être sa place dans les réussites qui ne me touchent pas), Pale Rider et je ne trouve pas le dernier, j'ai du l'oublier à force de le voir par fragments...

    5 films que tout le monde aime, mais moi j’y arrive pas : Rois et Reine, 21 grammes, les films de Dupontel, Casino

    J'ai pas le courage de terminer...

  • Julien : Identification d'une femme, c'est le premier Antonioni que j'ai pu voir et peut-être aurais-je un autre regard aujourd'hui car ses autres films ne me laissent pas "froid".

    TG : Revu il y a trois ou quatre ans Birdy, c'est effectivement assez insupportable. A 15 ans, je trouvais ça génial...

    Ludovic : Ah, ça oui... Grand choc à la découverte de Attaque, mon Aldrich préféré ave En quatrième vitesse. Jack Palance, quel acteur, c'était...
    Téchiné, je suis loin de tout connaître , mais généralement, j'ai beaucoup de mal à aimer vraiment ses films. Comme exception, je ne vois que Les roseaux sauvages.

  • TG : de Dupontel, je ne connais que "Enfermés dehors", que je déteste moi aussi. Mais "Casino" quand même... :)
    Sinon, ça devait effectivement être quelque chose cette séance de "La mouche"...
    Merci pour la participation.

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