La plus belle fin de film ? Je pourrais piocher du côté de chez Ford, Wilder, Kubrick, Tarkovski et bien d'autres, mais plutôt que des classiques... Disons que l'avantage des "petits" films, dans leur déficit d'exégèse, c'est qu'ils donnent l'impression de rester nôtres.
La plus belle fin de film, c'est une histoire de convergence. A la fin de Trust me (Trust, Hal Hartley, 1991), convergent tous les éléments intrinsèques mais surtout, le film vient à moi comme je vais à lui.
Commentaires
Aaaargh ! ça me fait toujours du mal de revoir Adrienne Shelly quand je songe à sa triste fin dans la sordide réalité de cette chienne de vie !
Hélas, oui. Revoir "Trust" et "The unbelievable truth" aujourd'hui provoquent de sacrés pincements au coeur.