En cette époque de rupture, il faut savoir prendre des décisions impopulaires mais nécessaires. Je change donc de pseudo.
EdSissi a vécu, vive Edisdead !
Comment n'ai-je pas répondu plus tôt à cet appel des Pixies, dont cette chanson, en compagnie de quelques autres, me trotte pourtant dans la tête depuis vingt ans ?
Ed is dead, 4e titre du ep Come on Pilgrim(1987), disponible en cd, en accompagnement de l'album Surfer Rosa (1988).
Commentaires
En même temps, je découvre ton Hall of Fame, tout à fait pertinent. Me demande en même temps si sept ans de règne (1992-1999) ne sont pas un trop larges pour les frèles épaules des deux Pavement et de Beck, surtout qu'en cette période la diva Bjork, le prince et la princesse rebelles Tricky et PJ Harvey et le baladin low-fi Dominique A pouvaient prétendre au trône. Mais bon.... Sinon, il faut que je découvre les Buzzcocks, apparemment les grands rivaux de Joy Division (si je me souviens bien de Control).
C'est qu'il faut bien faire un choix, sinon il faudrait en citer un par an, ce qui serait un peu trop long. Ce petit jeu est facile pour placer les étoiles filantes qui brillent pendant quelques années : Smiths/Pixies/Pavement, ça collait parfaitement. Mais c'est plus difficile de trouver une place pour ceux apparu au début des années 90 et qui continuent depuis à faire d'excellents disques. Beck, Bjork, PJ Harvey, Dominique A, nous sommes d'accord. Sans parler de Portishead qui revient bientôt ou de Mark Hollis/Talk Talk qui fait un album tous les dix ans. Y'avait plus de place non plus pour Neil Young (dont je reparlerai bientôt à la faveur du documentaire de Jarmusch que j'ai enfin vu), Joy Division, New Order...
Quant aux Buzzcocks, si il y a des ponts entre eux et Joy Division, ils vont plus vers un punk-rock mélodique et concis que leurs voisins.