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Quelques dialogues sont un peu trop simples et figent les personnages, et une certaine confusion narrative s'installe à mi-course. Mais ce deuxième long de Miyazaki reste très intéressant en tant que film fondateur de style et de thématiques. Le bestiaire inventé frappe déjà, tout comme la création d'un personnage de jeune fille prenant en main son destin. Primordiale et déjà en place elle aussi, la dimension écologique, parfaitement intégrée au merveilleux semble même, en 1984, en avance.