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Pacifiction (Albert Serra, 2022)

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Fiction en train de se faire, puis de se défaire (jusqu'à s'arrêter longtemps avant la fin), et acteur en train de chercher son personnage. J'ai vu dans "Pacifiction" forme et fond (indices, mystère, paranoïa) s'accompagner de façon suffisamment cohérente pour susciter, sinon une fascination totale, du moins un vif intérêt, notamment quant à l'idée de création à partir du presque rien, de signes infimes, de temps qui s'écoule.

Commentaires

  • Je me suis totalement laissée happer, y compris la seconde fois (oui, le Max Linder, le projetait en séances spéciale César, je me suis donc laissée aisément convaincre). Magimel est totalement aux fraises et je le soupçonne d'avoir bossé comme un cinglé pour y parvenir. Un de mes films préférés de l'année passée.

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